La Nouvelle-Calédonie était dans «une situation plus calme» ce vendredi, selon les autorités locales, à l’exception de quartiers «hors de contrôle» que l’État va tenter de «reprendre» grâce à l’armée, après quatre nuits de violente contestation contre une réforme électorale votée à Paris.

Kaha ʻia e ka Pākuʻi RSS ʻeā e Hoʻolālā CodeRevolution.